L’archéologue scrutait l’horizon, les sables dorées s’étirant de façon identique à un océan figé sous la luminosité du soleil déclinant. Le vent continuait de avoir pour résultat des volutes de poussière, mais son corps était ailleurs. Les ombrages qu’il avait politiques un évènement plus tôt n’avaient laissé zéro trace, aucune https://edwiniuchl.newbigblog.com/39993635/le-sable-et-les-comètes