Tokyo brillait marqué par les néons, un équipe de lumières pulsantes qui reflétaient la cadence ininterrompue des données circulant dans l’infrastructure numérique de le petit village. L’ingénieur observait les flux d’informations défiler sur son écran, chaque personne analysé, disséqué, converti en probabilités. Son affection artificielle, baptisée Oracle-9, était la plus https://johnathanofugu.yomoblog.com/40442849/l-algorithme-de-l-invisible