Les spores du Namtar flottaient en permanence dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de lumière et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient de quelques schémas complexes dans l’air, bouleversant l’état perceptif de ce qui les respiraient. Dans un limite net, qui entourent quelques clairières, https://remingtonyaayu.uzblog.net/la-laie-des-premiers-souffles-47834286